CHAPITRE VI
e Chinois, non satisfait de la volupté naturelle
du coït simple, a cherché à l’accroître
par des artifices nombreux et divers.
Le hérisson Chinois. — En première ligne, citons le hérisson Chinois. C’est une couronne de plumes fines et douces insérées solidement par leur queue, avec un fil d’argent, tout autour d’un anneau de même métal, de dimensions variables, suffisamment grand pour laisser passer à travers le gland non en érection et assez petit pour être arrêté par la couronne du gland en érection. Cet engin augmente sensiblement les dimensions du pénis, et l’on comprend que la friction des barbes de plume sur les muqueuses du vagin procure des sensations d’une nature particulière. Elles sont tellement énervantes, que les médecins Chinois interdisent l’emploi du hérisson aux femmes enceintes ; mais elles s’en servent souvent pour avorter.
La boule masturbatrice. — Un autre appareil, pour