des parcs ou des cours appelés paddocks et, d’autre part, avec un couloir de service ; la figure 218 donne la coupe d’une semblable installation. Le couloir de service a ordinairement 2 mètres de largeur et est au même niveau que les box ; il sert à l’enlèvement des litières et de passage aux animaux lorsqu’on veut les changer de compartiments ; quand il est réservé exclusivement au service de l’alimentation, on le fait plus étroit et, parfois, on le surélève. L’éclairage et l’aération des écuries sont assurés par les fenêtres et les portes. Les fenêtres, dont les châssis sont en bois ou en fer,
doivent être dis-
posées de ma-
nière à ne pas
déterminer des
courants d’air
pouvant occa-
sionner des re-
froidissements
chez les ani-
maux ; pour cela,
il faut les placer
à une hauteur
suffisante, 2 mè-
tres au moins, et
les faire ouvrir
vers l’intérieur de haut en bas, pour que l’air ne vienne jamais frapper directement les chevaux ; quelquefois même, pour éviter tout courant d’air, on adopte des fenêtres-ventilateurs à soufflet. En principe elles doivent être larges et basses ; on leur donne souvent de om,89 à un mètre de hauteur et de lm,30 à lm,80 de largeur. La figure 219 donne, parmi beaucoup d’autres, une disposition très adoptée. En général, toutes les fenêtres d’écurie sont analogues et ne diffèrent que par leurs appareils de fermeture et leur mode de commande ; comme pour toutes celles destinées au logement des animaux, il faut proscrire les petits bois transçersaux qui gênent l’écoulement de l’eau à la surface des vitres et qui en outre, pour cette raison