çonnerie ou au moyen de potelets P (B, fig. 239) percés de trous, passant dans des colliers D fixés aux murs, dans lesquels on les arrête avec des broches en fer ; ces deux modes de suspension sont très pratiques, ainsi du reste que celui par chaînes qui est représenté dans la figure 246 ; quand ces dernières doivent avoir une certaine longueur, il est économique de les
remplacer par des trin-
gles en fer terminées
par quelques maillons
seulement.
Lorsque le dévelop-
pement des râteliers est
insuffisant, on place des
crèches de milieu ayant
une forme circulaire ou
polygonale. Une crèche
de milieu comprend un
râtelier formant cor-
beille et au-dessous une
auge : le modèle repré-
senté dans la figure 240
est d’un type qu’on rencontre communément dans les fermes, mais qui le plus souvent est établi (entièrement en fer et en fonte. A Grignon on emploie un’modèle analogue, d’une construction un peu plus compliquée, l’auge étant en bois et de forme polygonale ; la partie supérieure, en tôle, forme entonnoir et empêche en même temps les animaux de prendre le fourrage par le dessus.
Les crèches du type de celle représentée par la figure 238, mais doubles et symétriques, constituent également de très bons râteliers de milieu.
Il existe des bergeries établies sur le principe des vacheries, avec cornadis ; cette disposition, commode pour le service, est relativement coûteuse d’installation. On peut alors avantageusement employer des wagonnets pour apporter les aliments, en installant une voie dans le couloir de service et, à la rigueur, quand ce dernier est trop étroit, en faisant rouler les