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Page:Jacques Danguy - Constructions rurales.djvu/373

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Les meilleures séparations sont en briques à plat et n’ont que Om,li ou Om,12 de largeur ; on peut augmenter leur résistance en les maintenant par de solides cadres en chêne, composés de poteaux réunis entre eux par des lisses ; les montants des portes sont également en bois. Quand on dispose de très bonnes briques on peut à la rigueur, en soignant beaucoup le travail, les mettre de champ et ne donner aux cloisons que om,06 seulement, mais il est préférable de lès mettre à plat et de porter leur épaisseur à om,l1.

On fait aussi quelquefois des séparations en bois en employant de bonnes planches, assemblées à rainures et languettes, maintenues par de forts poteaux ; ces cloisons sont presque aussi coûteuses que celles en briques et d’une durée moindre.