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Page:Jacques Gaffarel - Curiositez inoüyes, 1629.djvu/450

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diligemment recueilly par Rodolphe Goclen Medecin de Masbourg: aussi bien n’est-il pas icy mon dessein de dresser une Apologie pour ceste science ; j’en demeure à ce que l’Eglise en a definy : seulement veux-je mettre en avant ce qu’en ont rapporté les Rabbins, & pour en mettre hors du soupçon les secrets, il faut que je monstre en peu de mots, qu’il n’y a rien de plus faux que ce qu’on dit au mespris de ceste Astrologie ; Que son commencement a esté celuy de l’Idolatrie. Guillelmus Parisiensis en sa première partie de l’Univers niant la puissance des Astres aux figures que nous venons de voir, confirme ceste opinion controuvee par quelques Chrestiens de l’Eglise naissante, Theophraste Paracelse