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des Grecs qui tournerent toutes choses en Fables ; eux, dis-je, qui ne pensoient pas estre habiles-hommes s’ils n’inventoient & publioient leurs resveries qui nous ont causé ce malheur, de ne cognoistre plus que confusément, & sous un voile la sagesse des Anciens ; de façon que nous ayans voulu donner l’Astrologie d’un autre sens, & farcie de Fables, les Horoscopes ne furent plus dressees que sur mille fausses Divinitez qu’ils attacherent aux Estoilles. Par ainsi ils enseignerent que ces Planettes estoient des Dieux, dont les uns estoient doux & les autres rigoureux, appellant Saturne pour estre malin νέμεσις nom d’une certaine Deesse vengeresse des insolences, ainsi appellée; disent-ils, ad indignatione.