Page:Jacques Gaffarel - Curiositez inoüyes, 1629.djvu/565

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dont ils estoient enflez, fit qu’ils ne s’en servirent point, inventant des mots nouveaux à tout ce qu’ils recevoient des anciens, nous privant ainsi de la cognoissance de l’antiquité, dont nous descouvrirons les mystères dans nostre Cribrum, advançant avec plus de loisir le reste des Curiositez de ceste Ancienne Astrologie. Descendons maintenant à la Lecture des Estoilles.