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Les jours suivants, je me remis de mon trouble et j’oubliai peu à peu ce pénible après-midi. Martial rayonnait, Wanda semblait heureuse, et je me prodiguais moi-même afin de leur faire apprécier plus encore leur chance. Je crois que je devins la mouche de leur coche amoureux, mais, si je les ennuyais parfois, ils eurent le bon goût de ne jamais me le dire.
Cependant, j’éprouvais parfois des tristesses anormales. Cela me prenait à la fin de la journée et cela augmenta au commencement d’août. Quand la lumière deve-