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Page:Jammes - Le Deuil des primevères, 1920.djvu/61

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ÉLÉGIE NEUVIÈME


Sur le sable des allées,
elles s’en sont allées, désolées.

Elles avaient de grands chapeaux tremblants
et des robes aux blancs rubans, sur les bancs.

Elles avaient des âmes de rossignol
qui chante des choses qui volent, folles…