Page:Janin - Contes, nouvelles et récits, 1885.djvu/35

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de la guerre. » Au même instant, l’épagneul ceignit son grand sabre, et, mettant un fusil chassepot entre les mains du petit joueur de trompette : « Une, deux, trois ! portez armes ! présentez armes ! » Azor accomplissait et surtout il enseignait tous ces beaux mouvements beaucoup mieux qu’un sergent de la garde nationale. Il savait jusqu’aux mots : En joue, et Feu ! toute la gamme militaire. Enfin rien ne