Aller au contenu

Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/167

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rayons plus brûlants frappaient sur les dômes étincelants de Stamboul, ne m’aurait peut-être pas trouvé vivant à l’heure de midi, si mes boulets ne se fussent détachés de chaque pied ; ils tombèrent avec fracas ; ma torture devint alors plus supportable, et je me mis à espérer que je ne mourrais pas. Rien n’égale en beauté le spectacle que j’avais sous les yeux : une mer immense, entremêlée de petites îles revêtues de verdure, et sillonnée dans