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Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/189

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XVII.

LE RETOUR.


Je ne saurais dire comment je sortis de ce lieu funeste. Arrivé à la porte, je remontai dans ma voiture, un cabriolet de campagnard assez laid, mais large et commode. Je restais là plongé dans un étonnement stupide qui tenait du désespoir, lorsqu’après une heure d’attente tout au moins, vers le milieu de la rue de la Santé (la