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Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/274

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pu passer à travers une crevasse plus petite que le trou d’une aiguille, je n’avais pas la moindre chance de salut. Au milieu de tous ces efforts, je fus saisi d’une faiblesse comme si j’eusse avalé du poison ; je n’eus que la force de gagner en chancelant la place qu’occupait mon lit. Je tombai sur mon lit, et je crois que je m’évanouis. Mais cela ne dura pas, car ma tête tournait, la chambre me