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Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/42

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cousine : dix-sept ans l’un et l’autre ! Ils n’avaient pour tout mets qu’une pomme et du pain ; mais ils mangeaient avec appétit et gaieté, mordant dans leur pain et changeant de morceau à chaque bouchée : on ne fait pas deux fois un pareil repas dans sa vie.

La jeune fille et Charlot me revenaient toujours au