Page:Janin - Les catacombes, tome 3.djvu/234

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Nous étions l’autre soir fort occupés, au coin du feu, à ne rien faire, et, qui plus est, à ne songer à rien. Chacun de nous avait fini sa journée et se reposait des mesquines agitations de ces quatre ou cinq heures de chaque jour, qu’on appelle la vie. À force de ne songer à rien nous en vînmes à traiter sérieusement plusieurs questions sérieuses ; et, si l’un de nous écrivait ses Tusculanes, nul doute qu’il n’eût écrit d’un bout à l’autre toute notre