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Page:Janin - Les catacombes, tome 4.djvu/42

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Vous avez laissé mourir, moi absent, une des plus aimables femmes dont le commerce parisien pouvait à bon droit s’enorgueillir, Mme Prevost, la marchande de fleurs du Palais-Royal. Non loin du corridor sombre qui conduit sur la scène du Théâtre-Français, derrière un énorme pilier, se cache dans la pierre, comme la violette se cache feuille, la boutique, ou, pour mieux dire, le parterre de Mme Prevost. Parterre éternel, ce-