tout de l’Hunyadi-Janos ou du bismuth, car il n’y a pas de place pour les grands malades et ce sont les flemmards qui y sont. Pour quatre-vingts, le médecin en a pour dix minutes. Donne à ceux en traitement des pointes de feu ou des ventouses. À une diarrhée :
« Vous lui donnerez une journée de repos, vous le laisserez au réfectoire pour qu’il n’attrape pas froid. »
« Pour les bronchites, donne un verre de tisane froide. Quand ça change de boulanger, le pain est bon mais guère meilleur que dans les prisons et au-dessous du pain de troupe. On fait des bonshommes avec la pâte. La corbeille de l’exposition.
« Je vous parlerai encore des marchandes de fleurs, des jeunes filles qui font semblant de vendre des fleurs le soir à la main et font plutôt le truc, près de l’Olympia, rue de Sèze, au rond-point… »