…… La visite de Nosocome parle du régiment :
Le piquet en bas. Au feu !
Nosocome était rentré depuis six jours de convalescence. On lui avait refusé de se louer un remplaçant afin de pouvoir sortir. Il part avec son peloton en tenue de corvée derrière la pompe.
L’incendie, comme tous les incendies. Il y a une façade en fer qui ne brille pas, mais chauffe seulement, par où l’on peut monter pour porter plus haut la lance et sauver des objets. Nosocome grimpe le premier et après quelques mètres est abattu par une poutre. Les plaies de son bras et de son pied, pour lesquelles il avait été couché deux mois, se rouvrent dans l’effort d’avant la chute. N’importe, il remonte et les officiers le regardent avec beaucoup de soin.
« Il n’y a plus de danger, dit le lieutenant du premier peloton. Menons-les