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SPÉCULATIONS

Un peu fermé, parce que les tuyaux, ça s’évente, être du Jockey économise l’achat d’Auteuil-Longchamps.

Les membres de ce bar, vêtus de complets à carreaux et coiffés de casquettes, passent leur time à boire du stout, du porter et de l’Old Tom gin, en mangeant des mutton-chops avec des pickles.

C’est bien un club de jockeys, car on les pèse à la réception. On peut à l’instar, ou plutôt à l’inverse du bon jockey Balthasar, être pesé dans la balance du pesage et trouvé trop lourd. Alors on a deux parrains qui vous prennent par dessous les bras et vous « soulagent ».

« Soulagent », c’est le mot.

Parlons d’un autre mot.



Le comte de Cambronne est membre du Jockey.

Vieille noblesse, antiquité qui suffirait du moins à un vin ou à un alcool : 1814 !

Édouard VII aussi, du temps où il n’était encore que prince de Galles, est membre du Jockey.

Il est bon qu’il y ait au moins un Anglais dans toute société bien parisienne à titre anglais.