Page:Jaurès - Histoire socialiste, III.djvu/255

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

orgueilleusement de tolérer son infirmité d’esprit ? Entre le déiste héritier de Jean-Jacques et le peuple chrétien, il pouvait subsister un malentendu ; quel jugement porter sur la personne même du Christ ? Est-il un homme fils et frère des hommes ? Est-il un dieu, qui, malgré l’humanité dont il s’est revêtu, a souveraine puissance sur les hommes ?


Faïences patriotiques nivernaises (1792).
(D’après les Faïences patriotiques nivernaises par MM Fieffé et Bonveault, reproduit avec l’autorisation des auteurs.)