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C’étaient surtout les nouvelles des départements, les manifestations de quelques grandes cités qui donnaient aux Girondins cette confiance agressive.
À vrai dire, l’état des esprits en province, vu d’ensemble, paraissait incertain. Les Girondins commençaient à s’apercevoir de la faute qu’ils avaient commise en laissant la Montagne presque seule envoyer des représentants en mission. Le Patriote français dit le 16 mai :