prières des Quarante-Heures n’ont pas été instituées par Bourdoise, il en a, le premier, établi et propagé l’usage dans les Paroisses, en France. Ce petit écrit mériterait d’être réimprimé de nos jours, où le culte de l’Eucharistie est à son apogée.
3. Grand dommage que reçoit l’Eglise des ordinations précipitées. — « De cette faute, disait le saint Homme, découlent les plus grands maux pour l’Eglise, le relâchement de la discipline ecclésiastique, les scandales, etc. Ce n’est pas le nombre mais la valeur des Prêtres qui réellement glorifie Dieu et honore l’Église, disait-il encore. »
4. Conférences d’Ussel[1]. — Du lieu où le pieux Bourdoise les avait faites. La célébrité de ces Conférences qui eurent, comme les autres, le succès le plus heureux, leur a valu cette dénomination. Comme aussi « les discours pleins d’onction de l’incomparable Réformateur ne tardèrent pas, dit le père Theiner, à lui acquérir une grande réputation[2]. »
5. De la Confirmation. — Frappe du peu de disposition extérieure qu’il remarquait, en son temps, chez les jeunes gens qui recevaient ce Sacrement, Bourdoise, pour y remédier, composa cet utile Traité.
6. Le désireux de l’Etat ecclésiastique. — Cet opuscule a pour fondement deux points fort essentiels. On ne peut entrer convenablement dans l’Etat ecclésiastique sans en avoir éprouvé un vif désir ; ce désir excite le sujet