Aller au contenu

Page:Jean Paul - Pensées, 1829.djvu/157

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

veillent que comment ils dorment ; on ne connait ni leur plus grande crainte, ni leur plus grand espoir.


Le présent prend plus vite notre reflet que noua ne prenons le sien.


Dans chacune des occupations auxquelles nous nous livrons journellement, on peut distinguer trois époques dans la première, elle est nouvelle ; dans la seconde, elle est ancienne et ennuyeuse ; dans la troisième, elle n’est ni l’une ni l’autre, elle est devenue habituelle.


Respectez l’individualité dans l’homme ; elle est la racine de tout ce qu’il y a de bien.