Aller au contenu

Page:Jean Paul - Pensées, 1829.djvu/160

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Celui dont le cœur respire le bonheur et là paix cherche dans une église visible une église invisible. — Le temple de la nature est le temple de l’amour, partout on en voit les autels et les chaires. L’homme assis sans rames dans sa nacelle la laisse suivre avec ivresse le cours du fleuve et ne cherche point à la gouverner.


Des nuages de l’erreur s’amoncellera plus tard l’orage de la passion.


Rien de plus pitoyable que de voir un homme chercher d’une. manière quelconque à s’attribuer un mérite qui ne lui appartient pas.


Le cœur auquel l’amour ne suffit pas n’en a jamais été rempli.