Page:Jean Paul - Pensées, 1829.djvu/22

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tations, il eut des grands seigneMS et des MMBts ttom— amis ; mais le doux souvenir de cette époque ne l’abandonna jamais. Il fut tonte sa vie le même homme solide, déterminé, et pourtant débonnaire et tolérant. M est bien rare qu’âne ai &pre eno-gte soit ainsi tempérée, que tant de Tfhémence s’allie A tant de douceur.

L’édition annoneée des’Bnwes de Richter doit former M : Mnte volumes. Ces muwes ne sont pas moins variées qu’étendae ! eUe ! embMMMt toutes sortes de sujeM, depui ! les plus hautes questions de phitoMphie et les descriptions poétiques tes plus p.M, oBnée~j))squ’attï ~~<<MW~’M~& <tt ! et aux instructions sur l’art </e <’<M<~n !  ! tr. Ses principales productions sont des romans La Loge invisible ~MteA<& ! M ~) ; L’avoine vage ( J~<) ; La Vie de Fhtein ; Le Ministre pendant le joMté (7~&em<M-) ; Le Voyage de Schmebte à Flatz Le Voyage de Katzemberger m Bain ; La Vie de Fibel ; avec plusieurs p : ece !  ! égè rM, et deux ouvrages d’un ordre plus élevé, ~eyMfnt< et r&<M, qui sont les plus volumineux et les meiHeaM de M9 remaM. Ce fut le pMtmer qui commença à lui concilier t’estime et l’admiration de ses concitoyen) il parut en.795 qaMt au dernier, Richter, d’accord en cela avec ses critiques, le regardait comme son ehef-d’œnw. Mais le nom