Page:Jean Paul - Pensées, 1829.djvu/23

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de romancier, comme en t’entend en Angleterre. rendrait mal la vaste et féconde eapadté de ce génie car, avec tout le désordre de ses grotesques phisan. teries, Richter est un écrivain TéritaMement pasMnné. et, ce qui étonnera davantage, d’un caractère noble et totennet. Rarement il écrit sans un dessein fort au-dessus de la portée des romanciers ordinaires. L’amusement est presque toujours un moyen pour lui, rarement onjamaB un but ; Ses peMée~, ses sentiments, les créations de son esprit. apparaissent à nos yeux sous des formes extraordinaires, en groupes nuancés de mille couleurs et toujours pleins de vie ; mais son caractère, quelque déguisement qu’il prenne, est celui d’un phitoMphe et d’un poète moral dont les méditations ont pour objet la nature humaine, et qui sympathise avec tout ce qu’il y a de beau, de tendre, et de mystérieMsemeat sublime dans le destin ou l’histoire de l’homme. Tel est le sens de ses écrit !, toit qu’il emploie la forme de la vérité ou celle de la fiction tel est l’esprit qui domine et ennoblit su descriptions de la vie commune, ses bizarres et fantasques rêveries, ses atiégories, ses plus obscure conceptions. non moins que ses recherches purement scienti’tqws.

Mais sous ce dernier rapport, Richter a égale’uon beaucoup produit. Sco ~ « foA<-<fM~ /’M/A~