Aller au contenu

Page:Jean de Rotrou-Oeuvres Vol.3-1820.djvu/288

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

seul|c}}

Traître c'est à ce bras qu'appartient cet office,

Je les résoudrai seul, si le ciel m'est propice,

Et si ta lâcheté n'arrête le dessein,

Que j'ai, de t'arracher l'âme, et l'amour du sein.