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Page:Jean de Rotrou-Oeuvres Vol.3-1820.djvu/305

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Et ne redoutez point qu'un ami sans égal,

Puisse changer ce titre, en celui de rival ;

Je sais trop mon devoir, et vous savez ma flamme,

Je crois n'être pas mal dans l'esprit de Madame,

Sa sœur espère en vain de toucher mes esprits,

Si Vénus renaissait, je l'aurais à mépris ;

Aimez-la constamment, n'imitez point son change,

Et la mettez au point qu'elle-même vous venge.

LISIDAN

.

Ô dieux ! Quelle infortune égale mes ennuis ?

Je demeure muet, en l'état où je suis.

ACTE III


Scène I

.