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Page:Jeanne Landre-Echalote et ses amants 1909.djvu/170

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échalote et ses amants

pierreuses assemblées, lesquelles ne perdaient pas une bouchée du spectacle.

— Que se passe-t-il ? Pourquoi arrête-t-on ce jeune homme ?

— Tiens parbleu, c’est sa faute, — expliqua une albinosse, — y a des râfles partout ce soir. Il était comme un empoté à attendre sa marmite. Les flics lui ont demandé ce qu’y faisait là. Il a pas voulu répondre. Alors y z’ont voulu voir ses papiers. Y n’en avait pas. Alors y l’ont empoigné pour le conduire au poste et, comme y f’sait la rouspèt’, y z’ont tapé d’sus. L’est

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