Page:Jika - La foi et la raison.djvu/118

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

le monde. Les puissants ne firent alors aucune difficulté pour accepter une religion qui, tout d’abord, les avait effrayés. Avec le prêtre et ses fables, ils eurent tout ce qu’il leur fallait pour maintenir les masses dans l’ignorance, les dominer, et s’en faire, de nouveau, un instrument aveugle et docile de leur ambition.