lement — et qu’il ne caressait aucun espoir matrimouial. Je n’en demandais pas tant. Je m’excusai encore. Par la force de l’habitude, M. Croupion me salua d’un :
— À votre service, monsieur.
Auquel je répondis :
— Trop aimable, monsieur.
Et je m’en fus au domicile de M. Félix Lenoir, rue Montmartre, au troisième, au dessus de l’entresol.
Je sonne. Une servante vient m’ouvrir :
— Suis-je bien chez M. Félix Lenoir ?
— Oui, monsieur. Veuillez entrer.
— Madame Lenoir est-elle chez elle ? demandai-je.
Une voix de rogomme se fit entendre :
— Il n’y a pas ici de Madame Lenoir. Il n’y a ici que MONSIEUR Lenoir.
— Encore ! fis-je en me tournant vers le grincheux qui venait de surgir.
— Comment encore ? Encore quoi ?…
— Monsieur, excusez-moi. Il doit y avoir erreur. Je suis à la recherche de M. Félix Lenoir.
— Eh bien ! monsieur, gronda mon interlocuteur, je vous répète pour la seconde fois que M. Félix Lenoir c’est moi. Que me voulez-vous ?
Je dus faire un effort pour ne pas m’écrier