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- La fatalité du despotisme est une idée que Montesquieu continue à combattre.
- Machiavel a pris pour des lois universelles des faits qui ne sont que des accidents.
- Développement progressif des institutions libérales depuis le système féodal jusqu’au régime représentatif.
- Les institutions ne se corrompent qu’avec la perte de la liberté. Il faut donc la maintenir avec soin dans l’économie des pouvoirs.
- Montesquieu n’admet pas sans réserve le principe de la souveraineté populaire. Comment il entend ce principe. Du droit divin, du droit humain.
- Continuation du même sujet. — Antiquité du principe électif. Il est la base primordiale de la souveraineté.
- Conséquences extrêmes de la souveraineté du peuple. — Les révolutions ne seront pas plus fréquentes sous l’empire de ce principe.
- Rôle considérable de l’industrie dans la civilisation moderne. L’industrie est aussi inconciliable avec les révolutions qu’avec le despotisme.
- Le despotisme est tellement sorti des mœurs dans les sociétés les plus avancées de l’Europe, que Montesquieu défie Machiavel de trouver le moyen de l’y ramener.
- Machiavel accepte le défi, et le dialogue s’engage sur cette donnée.
- Machiavel généralise d’abord le système qu’il se propose d’employer.
- Ses doctrines sont de tous les temps ; dans le siècle même, il a des petits-fils qui savent le prix de ses leçons.
- Il ne s’agit que de mettre le despotisme en harmonie avec les mœurs modernes. — Principales règles qu’il déduit pour arrêter le mouvement dans les sociétés contemporaines.
- Politique intérieure, politique extérieure.