plan je les réduis à deux autres, l’une suivant la direction du rayon et l’autre suivant la tangente au point et, nommant la première et la seconde je trouve
de sorte que j’aurai les trois forces dont la première est perpendiculaire au plan du cercle, la seconde tangentielle au cercle et la troisième dirigée vers le centre même du cercle. Or, il est facile de voir qu’on aura
donc, substituant ces valeurs et faisant attention que et sont constants, on trouvera
de sorte que la force perpendiculaire sera à la force centripète comme à et lorsque est très-petit vis-à-vis de comme à ce qui s’accorde avec le théorème de Simpson.
Adieu, mon cher et illustre ami, il ne me reste de papier que pour vous embrasser et vous renouveler les assurances de mes sentiments les plus tendres et les plus respectueux.
P. S. — Vos deux Mémoires s’impriment dans le Volume de 1763, qui est actuellement sous presse et qui paraîtra à Pâques.