Aller au contenu

Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 2.djvu/177

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

c’est-à-dire

2o Il est visible que le trinôme peut se décomposer en ces deux binômes ce qui donne, par la comparaison des termes, et d’où l’on tire et delà

Cela posé, on aura donc

d’où il est facile de conclure que l’on aura

2. Corollaire I. — Soit c’est-à-dire qu’il y ait un nombre égal de cas qui donnent ou ou d’erreur ; la probabilité d’avoir un résultat exact dans chaque observation particulière sera et celle d’avoir un résultat exact, en prenant le terme moyen entre les résultats de observations, sera, suivant la première formule