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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 2.djvu/226

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36. Corollaire II. — Donc, si l’on a une fonction quelconque, rationnelle et sans diviseur, de telle que

et qu’on demande le coefficient de la puissance dans la fonction il n’y aura qu’à mettre, à la place de la somme des valeurs de depuis jusqu’à divisée par (Corollaire précédent), et rassemblant tous les termes où se trouvera élevé à la puissance donnée, on aura pour le coefficient de cette puissance la série

laquelle ne devra être continuée que jusqu’à ce que quelqu’un des termes devienne négatif ; et comme ce coefficient ne dépend point de la valeur de il est clair que la formule que nous venons de trouver aura toujours lieu, soit que soit plus grand ou moindre que l’unité.

Si, au lieu de la fonction on avait celle-ci

comme il faudrait substituer à la place de la somme des valeurs de depuis jusqu’à divisée par et l’on aurait pour le coefficient de la série

Enfin, si l’on avait la fonction