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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 2.djvu/714

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ayons démontré rigoureusement que le Problème est toujours nécessairement résoluble en nombres entiers (voyez le tome IV des Mémoires de Turin et le volume de l’année 1767 de ceux de cette Académie, p. 272)[1].

34. Scolie. — Il n’est pas inutile de remarquer que les quantités et qui entrent dans les expressions générales de et (31), sont toujours telles que

le signe supérieur ayant lieu lorsque est pair, et l’inférieur lorsque est impair.

Pour démontrer cette proposition dans toute sa généralité, il faut remonter aux formules du no 44 des Additions citées, et l’on verra que la quantité

n’est autre chose que la quantité

dans laquelle on a substitué pour sa valeur

(on doit se souvenir que la quantité que nous nommons ici est celle que nous avons nommée dans l’endroit cité). Or la quantité

est égale (no 25 des mêmes Additions) à

  1. Œuvres de Lagrange, t. I, p. 671, et t. II, p. 377.