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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 2.djvu/85

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XI.

Supposant toujours en sorte que l’orbite du corps soit (comme on sait) une section conique dont l’un des foyers tombe dans le centre on pourra placer l’autre centre partout où l’on voudra. Prenons ce centre dans le point d’où l’on suppose que le corps est parti, et l’on aura, dans les formules de l’Article V,

et par conséquent

ou bien, à cause de

Donc on aura, en substituant,

et, de même,

De sorte que les équations (M) et (N) de l’Article VII deviendront