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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 2.djvu/88

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XII.

Comme la difficulté de l’intégration des équations (H), (I) et (L), qui renferment la solution du Problème général, ne vient que des radicaux et supposons que les constantes et dépendantes de l’impulsion primitive du corps, soient telles, que les quantités

contiennent chacune un facteur carré ; et il est clair que les radicaux dont il s’agit se réduiront aux formes

et

de sorte que les équations du Problème ne dépendront plus que de la quadrature du cercle ou de l’hyperbole.

Pour cela je fais et je substitue au lieu de dans la quantité j’ai, en ordonnant les termes par rapport à

Or, afin que cette quantité contienne le facteur il finit nécessairement que les deux derniers termes évanouissent ; ainsi l’on aura les deux équations

(X)

par le moyen desquelles on déterminera tant la quantité que la rela tion qui doit avoir lieu entre les constantes