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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 3.djvu/516

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donc

donc

d’où l’on tire

ainsi il n’y aura plus qu’à substituer cette valeur dans la première équation

et l’on aura cette équation finale

laquelle, étant ordonnée par rapport à montera au sixième degré et ne contiendra que des puissances paires de de sorte qu’en faisant on aura celle-ci du troisième degré

où l’on voit que le dernier terme est un carré avec le signe de sorte que la quantité aura toujours une valeur réelle positive ; on voit de plus qu’à moins qu’on n’ait à la fois et on pourra toujours faire en sorte que n’ait aucune valeur nulle ; car il n’y aura qu’à prendre et de manière qu’on ait