savoir, en élevant les deux membrés à la puissance
et que la seconde sera bonne lorsqu’on aura
de sorte que, dans le premier cas, l’équation aura autant de racines réelles et autant d’imaginaires qu’il y en aura de telles dans les deux équations
et que, dans le second, le nombre des racines réelles et dés imaginaires sera le même (33) que dans l’équation
45. Si l’on avait
alors les deux conditions seraient les mêmes ; de sorte qu’il faudrait dire que l’équation aurait dans ce cas autant de racines réelles et autant d’imaginaires qu’il y en aurait de telles dans les équations
et dans l’équation
donc, s’il arrive que le nombre des racines imaginaires de ces deux équations-là soit difl\delta rent de celui de cette équation-ci, il s’ensuivra qu’il y aura dans la proposée autant de racines égales qu’il y aura plus de racines imaginaires d’un côté que de l’autre ; car les racines égales étant les limites entre les racines réelles et les imaginaires, peuvent être regardées en quelque sorte comme appartenant aux unes ou aux autres.