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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 4.djvu/21

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En regardant toujours comme constante, on a

donc (en prenant pour constante)

et toute équation différentielle du second ordre, telle que

à laquelle satisfera l’équation finie

la constante demeurant arbitraire, sera nécessairement formée par la combinaison des équations

en sorte que disparaisse.

En continuant ainsi, dans l’hypothèse de constante, on aura

par conséquent

et toute équation différentielle du troisième ordre, telle que

à laquelle satisfera l’équation finie