temps
par ce dernier mouvement (34) ; ainsi l’on aura par les Tables de Mayer, en prenant les mouvements moyens qui répondent à une année Julienne,

60. Avant de quitter ces équations, il est bon de déterminer par leur moyen la constante
qui exprime l’attraction absolue de la Terre, et qui multiplie aussi tous les termes de la quantité
Pour cela il suffit de considérer la première équation, laquelle devant avoir lieu dans l’hypothèse que
soient des quantités assez petites, il faudra aussi qu’elle ait lieu, à très-peu près, en supposant ces quantités nulles ; or dans ce cas, si l’on néglige les termes venant du Soleil et affectés du coefficient très-petit
ainsi que ceux qui proviendraient de la non-sphéricité de la Lune, le premier membre de l’équation dont il s’agit se réduira à
à cause que
devient égal à
par conséquent on aura à très-peu près
Si l’on veut aussi avoir égard aux termes dus au Soleil, on considérera qu’à cause de
très-grand, on a à peu près

substituant cette valeur, mettant pour
sa valeur moyenne
et ne retenant que les termes tout constants, le premier membre de la même équation se réduira à

savoir
