culté en supposant la densité
constante,

donc

étant la masse entière de la Lune, et
son demi-axe.
À l’égard des constantes
on les trouvera égales à zéro ; en sorte que les trois axes du sphéroïde seront des axes naturels de rotation.
64. Voyons maintenant quelles sont les forces qui pourraient donner à la Lune supposée fluide une figure telle que celle que nous venons d’examiner. Dénotons par
les forces qui agissent sur chaque particule
suivant les trois coordonnées
de cette particule ; on sait, par la Théorie de l’équilibre des fluides, que l’équilibre aura lieu dans toute la masse du fluide, si les quantités,
sont des fonctions de
telles que

soit une quantité intégrable ; et alors l’intégrale de cette quantité, égalée a une constante, sera l’équation de la surface extérieure, en supposant que
deviennent
que nous prenons pour les coordonnées de la surface. Donc, si
sont ce que deviennent les fonctions 