Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 6.djvu/379

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a aussi par les observations

d’où l’on voit que les quantités et sont presque égales à l’unité ; du moins la différence en est si petite qu’il serait inutile d’en tenir compte dans les coefficients.

De plus on a déjà observé que la constante est aussi à très-peu près égale à l’unité ; du moins la différence ne peut être que de l’ordre de et de c’est pourquoi on aura, sans erreur sensible (no 27),

et, faisant ces substitutions dans le coefficient du terme trouvé ci-dessus, on verra que tout se détruira, en sorte que ce coefficient deviendra nul de lui-même.

31. Si les deux termes

ne se détruisaient pas, on aurait une quantité de l’ordre de de même, si les différents termes de la valeur de ne se détruisaient pas entre eux, cette quantité serait de l’ordre de et par conséquent, à cause de

le terme

serait de l’ordre c’est-à-dire, du même ordre que les autres termes, à cause que et sont à peu près des quantités du même ordre.