Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 8.djvu/153

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Au reste, quoique pour une équation du troisième degré il n’y ait guère rien à gagner par cette méthode sur la longueur du calcul, il n’en sera pas de même pour les équations des degrés supérieurs, car le nombre des opérations que cette méthode exige n’augmente que comme le degré de l’équation, au lieu que celui des opérations nécessaires pour calculer l’équation des différences et en déduire la limite cherchée augmente comme les carrés de ce même degré.


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