Mercier dépose de même que le feuillet cryptographique ne lui a jamais été communiqué ; « la traduction lui fut présentée sur papier blanc ordinaire, en écriture courante[2]. »
La version définitive des Affaires étrangères est ainsi reproduite par Du Paty dans sa note :
Version no 2 :
Si le capitaine Dreyfus n’a pas eu de relations avec vous là-bas, serait bon de faire démentir officiellement pour éviter commentaires presse.
Puis, Du Paty ajoute :
Il n’y a pas eu de version adressée par écrit à la Guerre des Affaires étrangères.
Or, le contraire a été formellement établi ; la version définitive fut officiellement transmise au ministère de la Guerre[3].
III
les lettres du colonel combe
L’authenticité de la lettre Combe (du 13 juillet 1832) a été contestée, mais certainement à tort. Le principal argument de Jacques Dhur est que la lettre, quand elle fut publiée par le Petit Journal, était signée Combes, avec un s. Zola vit lui-même l’original qui est signé correcte-