dont j’admire la grande activité ! Je ne peux que répéter ce que le prince de Munster a déclaré au ministre des Affaires étrangères en 1897 et ce que M. de Bulow a déclaré devant le Reichstag en 1898, que je n’ai jamais connu M. A. Dr…, que je ne l’ai jamais vu et que je n’ai jamais eu des relations avec lui, ni personnellement ni par intermédiaire. Avant que cette déclaration, la base de toutes autres recherches, n’est pas acceptée par ceux qui ont eu à débrouiller cette triste affaire, Il me paraît sans succès et inutile d’en parler encore.
Je regrette énormément que je ne peux pas vous donner une autre réponse ; car, croyez-moi bien, Monsieur, qu’il me ferait grand plaisir si la vérité sur cette affaire éclaterait un jour.
Agréez, Monsieur, je vous prie, l’assurance de ma plus haute considération.
Monsieur,
En vous accusant réception de votre aimable lettre de ce soir, j’ai l’honneur de répondre que je me présenterai chez vous à l’hôtel demain à quatre heures.
Recevez, Monsieur, je vous prie, l’expression de ma très haute considération.
En vous remerciant de votre aimable lettre du 3 février que je viens de recevoir, je m’empresse de répondre aux questions que vous avez bien voulu me poser :