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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

fait d’aveux, 538. — Convoqué par Gonse à l’État-Major, au mois d’octobre 1897, II, 575 et note 4. — Écrit, à la demande de Gonse et en présence d’Henry, le récit des prétendus aveux, 576-577, I, appendice, 629-631. — La question des aveux traitée par Cavaignac dans son discours à la Chambre lors de l’interpellation sur la lettre J’accuse (séance du 13 janvier 1898), III, 237-238. — Le « dossier des aveux », 284. — La légende des aveux démentie par Forzinetti et Clisson, 287. — Cité par Zola comme témoin, 302. — Scène entre lui et Forzinetti dans la salle des témoins au procès Zola, 360-361. — Ses déclarations contradictoires à l’abbé Valadier et à Chaulin-Servinière, 360, note 1 ; 361, note 1. — Détruit son carnet, I, 537, note 4, IV, 6. — Appelé chez Cavaignac ; son entretien avec lui, 5, 7. — Cavaignac copie le feuillet du carnet où il aurait consigné les aveux, 7. — Détruit ce feuillet, 7, note 4. — l’authenticité des aveux affirmée de nouveau à la tribune de la Chambre par Cavaignac (séance du 7 juillet 1898), 26. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 450-451. — Sa déposition à la deuxième enquête Mazeau (janvier 1899), 509. — Cité par la défense au procès de Rennes, V, 233-234 ; 285 ; sa déposition, 440 ; 442-443 ; 477 ; I, appendice, 627.

Leclerc, général. Averti par Gonse de la mission de Picquart en Tunisie, II, 470. — Accorde un congé à Picquart en juin 1897, 520. — Instructions qu’il reçoit de Boisdeffre au sujet de Picquart, 575, 620, 621 et note 1. — Convoque Picquart à Tunis, 622 et note 1. — Reçoit l’ordre de l’interroger sur la disparition du document libérateur, 646-647. — Télégramme que lui adresse Billot au sujet du départ de Picquart pour Paris, III, 65.

Lecomte (Maxime), sénateur. Membre de la commission de dessaisissement, se prononce contre la loi, V, 9 et note 2. — Son discours à la séance du 27 février 1899, 14. — S’abstient dans le vote sur l’amendement Bernard, 22, note 3.

Lecouteux de Caumont. Parrain d’Esterhazy lors de l’admission de celui-ci au cercle, de la rue Royale, II, 29, note 2.

Leduc (Stéphane), professeur à Nantes. Reçoit Grimaux chez lui (août 1898), IV, 148, note 4.

Leeman (Maurice). Nom véritable de Lemercier-Picard. Voir Lemercier-Picard.

Lefevre (Pierre), directeur du « Rappel » et du « XIXe siècle ». Conseille à Mathieu Dreyfus d’ajourner sa campagne en faveur de la revision, II, 167. — Sa déposition devant la Haute Cour, V, 262, note 1.

Lefort, colonel. Participe à la comparaison entre l’écriture du bordereau et celle de Dreyfus au ministère de la Guerre, I, 63 ; à l’expertise du bordereau par Gobert, 81, 82. — Accompagne Gonse chez Gobert, 87 et note 3.

Le Gall, chef du cabinet civil de Félix Faure. Son récit de la dernière journée et de la mort de Félix Faure, IV, 546, note 1 ; 551, note 3 ; appendice, 622-623. — Conteste le récit qu’a fait Gibert de son entrevue avec le Président, II, 173, note 4.

Légitimus, député. Signe le manifeste « à la France ouvrière et socialiste » (12 juillet 1899), V, 256, note 1.

Legludic (Léon), sénateur. Membre de la commission chargée d’examiner la loi de dessai-