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INDEX GÉNÉRAL

Havas de l’arrestation provisoire d’un officier, 205. — Son attitude au conseil extraordinaire de cabinet (1er novembre 1894) ; manière dont il présente l’affaire ; ouverture d’une instruction judiciaire, 208-209. — Informe Casimir-Perier de la décision du conseil, 209. — Transmet le dossier à Saussier, 209. — Campagne d’intimidation menée contre lui par la presse antisémite ; il est accusé de vouloir étouffer l’affaire, 233-241. — Le premier déchiffrement de la dépêche du 2 novembre, puis la version officielle de cette dépêche lui sont communiqués par Sandherr, 247 et note 4 ; 250 et note 2 ; appendice, 592-595. — Charge la Préfecture de police d’une enquête sur la vie privée de Dreyfus, 260. — Aurait supprimé la note de Lépine, 262. — Ses inquiétudes sur l’issue de l’affaire, 263. — Le dossier secret lui est communiqué par Boisdeffre, 269. — Ses sentiments à l’égard de Boisdeffre, 271. — Procède avec Boisdeffre à l’examen du dossier secret, 272. — Séance du 6 novembre à la Chambre : interpellation Le Hérissé sur la faiblesse des effectifs ; nouvelles attaques contre lui au Parlement et dans la presse, 271-272. — Consent à la communication du dossier secret ; revirement subit de la presse antisémite ; article de la Libre Parole le félicitant de son attitude, 275. — Interviews dans le Journal et dans le Matin : il déclare que les renseignements livrés sont de peu d’importance et que Dreyfus proteste de son innocence, 277-278. — Ne communique le dossier secret ni aux ministres, ni à Casimir-Perier, ni à D’Ormescheville, 278 ; 281. — Montre la lettre Canaille de D… à Casimir-Perier et à Hanotaux, 279 et note 3. — Affirme ne pas s’être immiscé dans l’instruction judiciaire, 286. — Sollicité à nouveau d’accorder une entrevue à Dreyfus, 296. — Son opinion sur la troisième expertise de Bertillon ; il fait recevoir celui-ci par Casimir-Perier, 311. — Refuse à Dreyfus l’autorisation de voir les siens, 326. — Déclare au rédacteur militaire du Figaro qu’il a eu, dès le premier jour, les preuves irrécusables de la trahison de Dreyfus, 334. — l’article du Figaro est démenti par Dupuy ; blâmes qui lui sont adressés par l’Autorité et le Gaulois à l’occasion de cette interview, 337 et note 2. — N’a eu avec Dupuy qu’un seul entretien au sujet de l’affaire, 343. — Nouvelle campagne d’intimidation de la Libre Parole : cette campagne cesse subitement, 343-345. — Le dossier ultra secret, 348. — l’obus à la mélinite, 361-362. — Démentira plus tard qu’aucune version de la dépêche du 2 novembre ait fait partie du dossier secret, 362-363 ; appendice, 596-597. — La « notice biographique », 364. — Met sous pli cacheté les pièces secrètes et la notice, 364. — Sollicité par Joseph Reinach de demander les débats publics pour le procès, son refus, 368. — Polémiques de presse au sujet du huis-clos ; article de Saint-Genest dans le Figaro, 375-379. — Dissuade le général Riu d’interpeller sur cet article, 376. — Nouveaux articles de Saint-Genest, 377-378. — Articles de Millevoye et de Rochefort, 378-379. — Déclarations du général Riu à la Patrie : « Dreyfus ou Mercier », 380. — Attaques de Cornély et de Cassagnac contre lui, 379-380. — Fait décider le huis-clos, 381. — Charge Picquart de lui rendre compte du procès, 399. — Demande à Boisdeffre de déposer ; refus de Boisdeffre, 404. — Il ordonne la communication du dossier secret, 430, note 7 ; appendice, 601-603. — Démarche de Bertin-Mourot auprès de lui,