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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/264

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

1898), 306. — Félicitations et encouragements qu’il reçoit, 315. — Apprend les confidences de Schwarzkoppen à Panizzardi ; en tire un récit qu’il fait soumettre à Schwarzkoppen par Max Nordau, 317. — La véracité de son récit confirmée par la comtesse de Bülow, 317, note 2. — Laisse sans réponse les propositions de Lemercier-Picard, 332. — Son procès devant la cour d’assises ; ouverture des débats, 340. — Incident qu’il soulève lors de la comparution de Mme Dreyfus, 346. — Hué et menacé par la foule à la sortie de la première audience, 348. — Son interpellation au général de Pellieux, 370. — Insulté par la presse nationaliste, 403-404. — Fait la connaissance de Picquart et de Grimaux, 409. — Son attitude pendant le procès, 427. — Sa réponse au réquisitoire de Van Cassel, 470-472. — Sa condamnation ; manifestations violentes auxquelles elle donne lieu, 478-479. — Nouvelles insultes de la presse, 480-481. — Se pourvoit en cassation, malgré l’avis de Duclaux, 493. — Menacé par Esterhazy de poursuites en dommages-intérêts, 517. — l’arrêt qui le condamne est annulé par la Cour de cassation, 549-553. — Nouvelle plainte portée contre lui par les officiers du conseil de guerre, 558. — l’affaire François Zola : falsification des lettres du colonel Combes ; ces lettres sont remises à Judet pour être publiées dans le Petit Journal, 603-607. — Mis par Trarieux au courant de cette machination, 615. — Son second procès s’ouvre à Versailles, 621. — Il en obtient l’ajournement, 622. — Article du Petit Journal sur François Zola ; il réplique à Judet par l’apologie de son père et l’assigne en justice, 625. — Poursuivi en correctionnelle par les experts Coüard, Varinard et Belhomme, 625. — Sa lettre à Brisson la veille du procès de Versailles, IV, 54. — Son troisième procès : il quitte la salle des assises après le rejet des conclusions de Labori, 55. — Condamné par défaut au maximum, 56. — Se rend à Londres, sur les conseils de Labori et de Clemenceau, et malgré l’avis de Mme Zola ; impression produite par son départ, 57-59. — Figure parmi les revisionnistes que Cavaignac projette de déférer à la Haute-Cour, 125. — Suspendu par le Conseil de l’ordre de la Légion d’Honneur, 127. — Rejoint en Angleterre par Desmoulins et Mme Zola, 137, V, 40 et note 3. — Condamné à payer à chacun des experts dix mille francs de dommages-intérêts ; fait condamner Judet et Marinoni pour diffamation envers la mémoire de son père, IV, 137, notes 3 et 4. — Poursuivi par Judet en dénonciation calomnieuse, sa condamnation, 137, note 5. — Son pourvoi contre l’arrêt de Versailles est rejeté par la Cour de cassation, 138. — Sa lettre à Joseph Reinach après l’arrêt de la Chambre criminelle déclarant recevable la demande en revision, 348, note 2. — Exclu de l’amnistie votée par la Chambre (novembre 1898), 428 et note 1. — Pris à partie par les souscripteurs des listes rouges, 443. — Croit à la complicité d’Esterhazy et d’Henry, 436, appendice, 621 ; VI, 14, note 1, 275, note 1. — Se dispose à revenir à Paris ; ajourne ce projet ; ses lettres à Joseph Reinach, V, 40 et note 1, 41 et note 1 ; 52, note 1. — Son retour à Paris après l’arrêt de revision, article de l’Aurore : « Justice », 123 et note 3, 124. — Décide de ne pas aller à Rennes, 267. — Son opinion sur le verdict du conseil de guerre, 536 et note 2. — Sa lettre à Mme Dreyfus après la grâce, 548 et note 1 ; VI, 1, 2. — Demande qu’il soit donné suite à son procès pour la lettre J’accuse, 15. — Son entretien avec Waldeck-Rousseau au sujet de